Raccommodeuse de filets,
Elle accomplissait dans l’ombre un travail long, minutieux et hautement spécialisé.
A partir de la fin du XIX ème siècle, les filets de pêche deviennent manufacturés.
Leur réparation reste cependant artisanale.
En mer, lors des grandes campagnes, les mousses s’en chargent.
Au retour à terre, cette tâche revient aux épouses, aux mères, aux soeurs et aux filles des pêcheurs.
Elle ne s’improvise pas: il s’agit de faire disparaître les trous, mais en respectant strictement le calibre des mailles.
Pour tirer le fil, la raccommodeuse de filets ,utilise une navette,
et pour le dévider, un tube lisse au-dessus duquel elle fait ses noeuds.
Les fils sont en chanvre jusqu’au début du XX ème siècle.
L’arrivée des fils synthétiques, imputrescibles mais glissants, compliquera le travail des raccommodeuses.
Sur les quais fluviaux, officient les repriseuses de sacs. Epouses de mariniers ou de débardeurs, elles ravaudent les sacs de jute employés pour le transport des céréales ou du plâtre.
Elles découpent pour ce faire des pièces dans les sacs les plus usés et les cousent au bon endroit.
Comme les raccommodeuses de filets, les repriseuses de sacs doivent s’armer de patience.
Autre point commun: elles reçoivent pas de rémunération, leur spécialité étant considérée comme l’une des facette de leur travail domestique.
Je vous souhaite un bon mardi,
MTH
Bonjour, un travail non rémunéré, une tâche domestique de plus, en somme ! en plus ça devait être d’un fastidieux ! je te souhaite une bonne journée, bisous
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Bonjour Francine, elles n’avaient pas la belle vie , les femmes du temps jadis. Bisous et bonne journée ici sous de copieuses averses MTH
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J’ai vu une fois des raccommodeuses de filets de pêche c’était au bord du lac du lac Léman, travail qui n’avaient rien à voir avec les filets de pêche en mer cela dit c’était un travail ingrat mal où pas rémunérer du tout. Le travail devait être pénible en ce temps-là.

Hier premier jour du printemps nous avons eu un temps bien ensoleillé souhaitons que cela va durer. Bonne journée…Bises amicales
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Bonjour Georges, ainsi tu as vu le travail fastidieux de ces femmes, je trouve que c’était des métiers vraiment difficiles, peu gratifiants, pas payés, je trouve que nous , les femmes d’aujourd’hui, malgré les difficultés de la vie actuelle, nous avons plus de chance. Il pleut à verse. Bisous et bonne journée MTH
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Elles avaient beaucoup de mérites et pas beaucoup de reconnaissance !
Bisous Marie et bon après midi …
Thérèse
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Bonjour Thérèse, je trouve que les femmes de ce temps là étaient vraiment misérables, heureusement nous sommes , quoiqu’on en dise, mieux dans notre vie. Bisous et bonne journée MTH
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Bonjour Marie,
j’espère que tu vas bien car enfin le printemps
Merci pour me faire découvrir ce métier d’antan, ca fait plaisir de te lire
Bisous
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Je ne sais plus où j’ai vu des hommes passer ces navettes dans les filets , en Bretagne je crois ou alors sur la côte d’albâtre. En tous cas oui les femmes n’avaient pas la belle vie dans ce temps là , au travail non stop sans rémunération , et dire qu’il est des pays où elles sont encore à la tache de cette façon sans que personne n’y trouve à redire .
Bonne soirée Marie
Bisous
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Bonsoir Marie ! un métier des bords de mer … qui n’est pas arrivé jusqu’en Alsace !!!!
Gros bisous, belle soirée
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Oh ! Non rémunéré … ouf ! Pourtant un bien gros travail !!!
Bonne nuit Marie ! Bisous♥
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