LA RIVIERE. La nuit, doucement délayée A l’eau de la rivière S’estompe en matin clair. L’eau a traqué Les narcissiques lueurs Qu’elle enferme Dans son métal Poli et sage. L’image dérobée Se perd dans le les remous, Eclate en éclairs…
Lire la SuiteUn beau roman où la solidarité n’est pas un vain mot. Ce Ferdinand bourru, exprimant difficilement ses sentiments, va s’avérer au fil des chapitres un vieil homme au coeur »GRAND COMME CA » J’ai aimé ce roman écrit avec un stylo qui…
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