Tant pis, je vais faire avec, mes lessives sont entrain de se faire, il fut un temps , il y a bien longtemps, au début de mon mariage , j’allais laver le linge au lavoir avec ma belle-mère, c’était surprenant pour moi qui venait de la ville.
Je me souviens des draps en toile , mouillés , ils pesaient au moins … une tonne, et on les tordais à deux.
Après on remettait le linge propre dans la brouette, on ramassait notre planche , notre triolo et en route vers la maison.
On étendait soit dehors si le temps le permettais, soit au grenier, et là pour moi cela se corsait: monter une échelle avec un panier de linge mouillé!!! de plus j’avais et j’ai toujours le vertige.
Souvenirs… souvenirs…..
Bon après-midi,
MTH
Dur cet période connue aussi mais pas au lavoir dans les bassines! Bisous Marie
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Coucou Renée, à Paris c’était aussi dans des bassines sauf les draps que l’on donnait à la blanchisserie, n’ayant pas la place pour étendre. As-tu connu la lessiveuse avec son « champignon » qui arrosait le linge? Dieu merci, cela a bien évolué. les lavoirs ne servent plus, d’ailleurs il y en a deux qui ont été démolis. Bisous et bonne fin de journée MTH
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Ces draps en toile n’étaient certainement pas aisés à laver et surtout à les tordre. Dans ma jeunesse je n’ai pas souvenir de ces salons-lavoir. Par contre j’ai connu les douches collectifs. Jolie vidéo. Bel après-midi. Bisous
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Coucou Georges; moi à Paris , je ne connaissais pas ce mode de lavage mais une fois à la campagne je fut bien obligé de me mettre « au goût du jour ». J’ai aussi appris pas mal de choses, je ne regrette rien même si cela a été dur au début, tu penses je n’avais que 18 ans! j’ai quitté ma place de « bureaucrate » chez CETELEM pour me marier, changement radical de vie et les débuts ne furent pas faciles financièrement, mais avec du travail, on s’en tire bien, parfois je me mets en rogne car des personnes me voyant maintenant sont étonnées que j’ai pu aller aux vignes, j’ai cuisiner pour les vendanges, nous étions environ 45 à 50 à manger , il fallait aussi coucher les vendangeurs, là, j’avoue que ce n’était pas une sinécure, car faire à manger, faire le ménage, faire les courses pour tout ce monde et nous n’étions que deux au début, après nous fumes 3 et on a changé de local ouf! c’est du passé; n’en parlons plus. Bisous et bonne fin de journée MTH PS pas trop mal « aux pattes » avec ton expédition de ce matin?
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Ah oui, c’est certain, c’était mieux avant! 😉
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Coucou Marie.
Ici du soleil, et doux cet après midi. Par contre les matinées sont fraîches. J’ai tourné, viré toute la journée entre Châteaubriant et Bain de Bretagne. Je rentre seulement. Et demain, pris de sang pour un contrôle hépatique complet. Il faut être à jeun et mon R.V. est à dix heures du matin.
Bises et bon début de semaine
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Coucou Marie,
En lisant ton article, ça me rappelle nos lessives interminables. Je suis heureuse que tout ceci soit un souvenir lointain. C’était pénible. Une corvée de tous les jours.
Bonne soirée.
Yvonne
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Bonsoir Yvonne, je suis bien d’accord bisous et bonne nuit Mth
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J’y suis allé au lavoir avec ma grand mère et la brouette et la planche et le battoir. Il me semble qu’on ne lavait pas aussi souvent qu’aujourd’hui ! Il y avait également une lessiveuse et son fameux champignon et un bac à lessive double en béton dans la cour.
Bises, Marie.
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Bonsoir je suppose que tu n’étais que spectateur et que cela t’amusait ,moi pas MDR Bonne soirée amicalement Mth
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Ah ! Pas de lavoirs par ici, Marie ! C’était une laveuse un genre de baril lorsque j’étais toute petite et peu de temps après, une laveuse avec un tordeur qu’on diasait ! On emplissait d’eau et après le lavage, nous devions la vider !
Ouf ! Il y a bien longtemps de cela !
Bisous♥
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Bonjour Colette, j’aime bien quand je vois décris d’autres coutumes, d’autres objets, et tu as raison ouf ! merci les machines modernes. Bisous MTH
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A les lavoirs des bords de rivières de notre enfance, ils avaient du charme. Quant aux lavandières, assez vite après guerre, les machines a laver le linge entrèrent dans les logis les plus argentés …. Ces lavoirs ont perdus leurs raison d’être depuis un bon bout de temps ils existent encore dans quelques ruralités mais ne sont plus guère entretenus.
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